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Link Info Name Rel. Birth Death Gender Manager Marriage Status
Malo-70
H
1 = |caption='''Fig. 2 - Louis Malo Pioneer Site'''
[https://www.erudit.org/en/journals/cdd/1995-n50-cdd0334/1012911ar/ Simard 1995], pp. 64, 68: « '''Les croix de chemin''' . . . Les croix appartiennent à la Bretagne comme ses mégalithes et sa langue. . . . Les croix de l’est de la Bretagne rappellent étrangement celles du Québec. . . . Puis le Manitoba, où les premiers Québécois se transportèrent dès le début du XIXe siècle. . . .Certaines de ces coutumes furent inscrites très tôt dans le paysage [manitobain], comme les «fermes en long», dont l’inspiration vient tout droit de l’ordonnance en rangs telle qu’elle est pratiquée au Québec depuis le XVIIe siècle. . . . Aujourd’hui encore, le paysage manitobain garde des traces concrètes de la survivance de ces anciens Québécois, et les croix de chemin qui s’y trouvent, presque aussi nombreuses qu’en Acadie, en constituent le signe le plus éloquent. Un peu comme les bornes des anciennes voies romaines qui encerclaient la Méditerranée, les croix de chemin de cette partie du pays rappellent à leur façon le rêve des anciens, qui entendaient de cette manière reconstituer l’éphémère empire français d ’Amérique. . . . la France compterait quant à elle entre 15 000 et 20 000 croix . . . c’est en Bretagne péninsulaire, particulièrement dans le Finistère, où elles se trouvent en plus grand nombre et aussi les plus anciennes. . . .[http://beaucemagazine.com/2014/09/27/les-croix-de-chemin/ Brossard 2014]: « '''Les croix de Chemin''' . . . Il était de pratique courante de se réunir en soirée au mois de mai, à l’occasion du mois de Marie, pour prier devant ces croix. Cette coutume s’est transportée aussi dans les provinces de l’Ouest. On retrouve des croix de chemin au Manitoba, en Saskatchewan et en Alberta. Par contre dans les provinces de l’Ouest, la cérémonie commençait par une messe et la bénédiction des grains de semence plus tôt au mois d’avril, en suite on se rendait devant une croix de chemin dans un rang pour prier et demander à la providence de protéger les récoltes des intempéries et des tempêtes de grêle. »[http://www.mrccharlevoix.ca/wp-content/uploads/2013/06/Les-croix-de-chemin-de-mon-village-St-Urbain-de-Charlevoix.pdf Mailleux 2013]: « '''Les croix de chemin de mon village'''
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En débarquant sur L’Isle-aux-Coudres, le 6 septembre 1535, Jacques Cartier y a planté une croix. Puis, elles se sont faites de plus en plus nombreuses au fur et à mesure que les colons venaient s’installer chez nous. S’établissant sur les terres et dans les rangs, donc plus éloignés des églises, les paysans, nos ancêtres, ont voulu se créer des lieux de rassemblement religieux plus près de leur résidence ils plantaient une croix.
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En passant devant une croix, la plupart des gens lèvent les yeux et se laissent pénétrer par le message qu’elle leur porte. Un message personnel qui réchauffe et apaise, qui réconforte et nourrit. Un message silencieux et intérieur. Et pourquoi ne pas oser une prière ? Qu’elle soit illuminée ou ternie par le temps, du moment qu’elle est visible, la croix appelle, rappelle, interpelle, tient lieu de pilier de la foi. La croix debout apportera du courage à celui qui a vécu l’épreuve. Elle ranimera le souvenir de celle qu’on avait oubliée. Elle rappellera de rendre grâce devant la beauté du paysage. La croix est le symbole d’une communauté qui depuis des siècles se laisse guider par la lumière du Créateur. Comment rester indifférent ?
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'''Et comme le chantait [https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Bolduc La Bolduc]''' : Si vous voyagez un brin du côté de Saint-Quentin Dites bonjour à mes parents qui habitent le cinquième rang. Vous pouvez pas les manquer, prenez le chemin pas pavé Près de la maison vous verrez, y’a une croix qu’on a plantée. »
[http://dianejoly.ca/wp-content/uploads/2012/04/croix-de-chemin.pdf Joly 2008]: « '''Une remarquable invite à redécouvrir nos croix''' . . .De nombreuses études sur les croix de chemin ont été publiées au cours des dernières années, notamment celles de Jean Simard. Toutefois, sa dernière étude importante, résultant d’un inventaire de ces monuments, date de 1994. ''Les Croix de chemin au temps du bon Dieu'', qui s’adresse au grand public, arrive donc à point nommé. L’ouvrage se compose d’une vingtaine de textes auxquels ont contribué une quinzaine d’auteurs de différents horizons et de cent cinquante images dont la majorité sont des photographies de Vanessa Oliver-Lloyd.
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Enfin, rappel de l’Amérique française, il y a près de Saint-Boniface, au Manitoba, une vingtaine de croix présentant tous ces genres
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[http://www.cndp.fr/crdp-dijon/IMG/pdf/b_croix_chemin.pdf Devalière en ligne][http://grandquebec.com/misteres-du-quebec/croix-de-chemin/ grandquebec.com], voir du particulièrement le glossaire.[http://www.ledevoir.com/societe/ethique-et-religion/453575/croix-de-repere Joly 2015]: « . . . des études . . . sont essentielles afin de favoriser l’ancrage des croix dans le lieu, car le moyen le plus efficace d’assurer leur pérennité demeure de faire connaître leur valeur au plus grand nombre. »'''Gloutnay 2014''': « Cette croix « marquait l’intersection du Rang Quatre avec l’ancienne route qui reliait le village de Saint-Boniface à la ville de Shawinigan. En 1949, cette route a été déplacée de quelques centaines de mètres vers l’est. Il n’y avait donc plus d’intersection à marquer depuis très longtemps. La croix du Grand Quatre était ainsi devenue une croix sans chemin, une orpheline en quelque sorte », explique l’économiste, à la retraite depuis un an, qui se plaît à discuter histoire locale et généalogie de la Mauricie dans Le carnet du flâneur. »Selon [http://www.ameriquefrancaise.org/fr/article-141/Croix_de_chemin.html#.WPvUs9IrJqM Diane Joly (en ligne)], '''Croix de chemin''', concernant la situation Québécoise des croix de chemin aujourd'hui:
« La conservation des croix de chemin est des plus délicates. Tout d’abord, ce patrimoine in situ est soumis aux intempéries et au climat extrême typiques du Québec et du Canada. Ensuite, le processus de protection institutionnelle est difficile puisque la plupart des croix appartiennent à un propriétaire unique et chacune d’elles doit faire l’objet d’une demande de classement patrimonial. Ainsi, au Québec, dans l’ensemble du corpus des quelque 3 000 croix de chemin répertoriées, seulement 53 sont protégées par une législation, et 26 sont classées monuments historiques. Enfin, les changements de propriétaires et l’indifférence de certains d’entre eux mènent à l’abandon ou à la mise au rancart de nombreuses croix. Par ailleurs, si des croix de chemin sont aujourd’hui dans un état lamentable, d’autres sont toujours des lieux de rassemblement, lors du mois de Marie par exemple, et l’entretien minutieux de nombreuses croix montre qu’aux yeux de leurs propriétaires, elles ont conservé un caractère divin.
La valeur patrimoniale des croix de chemin est aujourd’hui reconnue dans plusieurs régions du Québec. Des sociétés d’histoire, et d’autres organismes culturels locaux, proposent des activités de mise en valeur et de conservation, notamment des circuits touristiques et des dépliants, des concours du patrimoine et des sites Internet. On procède aussi à des relevés locaux de croix de chemin et à des rencontres avec les propriétaires afin d’établir l’historique de leur croix et de constituer des archives visuelles. Dans des régions, on a créé des partenariats avec les propriétaires pour assurer l’entretien de leur croix selon des normes reconnues de conservation. Il semble donc que ce « legs non le moins beau du patrimoine ancestral » soit voué à un bel avenir. Pour peu que les municipalités concernées en fassent la demande, la prochaine étape de patrimonialisation de ces objets attachants et fragiles de la culture populaire serait la reconnaissance, par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec, de leur valeur collective par le classement des croix les plus précieuses comme biens culturels protégés. »

[http://vousvoyezletopo.blog.lemonde.fr/2014/08/31/cairn-montjoie-tas-de-pierres-et-autres-points-de-repere/ vousvoyezle topo.blog] - '''Cairn, Montjoie, tas de pierres et autres points de repère'''
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« Cairn est issu du préceltique et celtique *karn ( encore vivant sous cette forme en breton et dans l’écossais carn), lui-même formé sur le pré-indo-européen * kar, « pierre, rocher ». Cairn avait en celtique le sens tout simple de « tas de pierre » indiquant le plus souvent un repère, un passage, une frontière , etc. puis a été appliqué à un tumulus avant de désigner toutes sortes de lieux sacrés, notamment des sépultures. Les plus anciens ont été datés du Néolithique — le grand Cairn de Barnenez est daté de 4500 av. J.-C., soit au moins deux millénaires avant les pyramides égyptiennes. »
[http://www.cairns.qld.gov.au/__data/assets/pdf_file/0019/13870/Plaques-Memorials-and-Monuments-General-Policy.pdf Cairns Regional Council], p. 3 - '''Plaques, Memorials & Monuments Policy'''
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A commemorative plaque will not be approved where there is a religious or political affiliation.
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[http://www.mhs.mb.ca/docs/features/warmemorials/guide.pdf MHS - '''Guide to Manitoba Memorial Types] - Cairns'''
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Many of the traditional monument forms used in Manitoba war memorials have as a vague originating reference the upright human body – as a tablet, an obelisk and obviously as a sculpted figure. Not quite so the cairn. This form has some complex cultural roots, harkening back to Neolithic burial sites and even to the majestic pyramids of Egypt, where the four sloped faces rising to a peak can be seen in miniature in so many cairn sites.

The word cairn comes from the Scottish Gaelic, càrn (plural càirn). The Gaelic càrn is essentially the same as the corresponding words in other native Celtic languages of Britain and Ireland, including the Welsh carnedd, the Irish carn, and the Cornish karn.

There are legends and folklore throughout the United Kingdom associated with cairns. In Scotland, it is traditional to carry a stone up from the bottom of a hill to place on a cairn at its top. In such a fashion, cairns would grow ever larger. An old Scottish Gaelic blessing is Cuiridh mi clach air do chàrn, ʺIʹll put a stone on your cairn.ʺ In Highland folklore it is believed that before a battle each member of a Highland Clan would place a stone in a pile. Those who survived the battle returned and removed a stone from the pile. The stones that remained were built into a cairn to honour the dead.

Finally, we can all imagine an elemental grave site where stones are piled over a burial to mark the place and fend off questing predators.

It is these connections that give the cairn its simple and evocative power. At the same time, because the typical cairn is made up of a pile of stones, even where they are finely cut and fitted, (and thus not like the other common memorial types, which are of a single piece), it is suggestive of work and toil and even of reasoning – making such a pile stand and endure requires some knowledge of the physical properties of piled objects. Cairns suggest the possibility that they were built by local people, not installed by professionals.  Even where it is a simple continuous form, covered for example in a concrete skim, the essential shape is still powerful.
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Site web manitobaphotos.com, [http://www.manitobaphotos.com/Manitoba_Cairns.htm Manitoba Cairns and Historical Markers] - On remarque qu'aucune des plaques de cairn montrées sur ces pages du site Web ne commémore un seul pionnier qui n'est pas aussi un notable.}}
{{Image|file=Malo-70.png|align=l|size=250|caption='''Fig. 2 - Louis Malo Pioneer...
Louis Malo certain 26 Jun 1835 certain Varennes, Bas-Canada 5 Sep 1906 certain Saint-Malo, Manitoba, Canada Male Bondy-455
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1 = Fondateurs de la paroisse
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|Fondateurs de la paroisse
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Louis Malo certain 26 Jun 1835 certain Varennes, Bas-Canada 5 Sep 1906 certain Saint-Malo, Manitoba, Canada Male Bondy-455
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Jerena Kolodie (Kryzanowski) certain 3 May 1819 Kasperivci, Galacia, Ukraine certain 23 Oct 1922 Foley, Division No. 18, Manitoba, R0C 2W0, Canada Female Johnson-124848
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Paul Kolodie certain 4 Jul 1879 Kasperivci, Zalishchyky district, Galicia, Austria certain 20 Oct 1947 Winnipeg Beach, Manitoba, Canada Male Johnson-124848
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Petro Kolodie uncertain 1811 Kasperivci, Galacia, Ukraine certain 2 Jan 1910 Foley, Division No. 18, Manitoba, R0C 2W0, Canada Male Johnson-124848
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James Joseph Moody certain 1882 certain Big Island Lake, Manitoba, Canada certain 1945 certain Selkirk, Manitoba, Canada Male Skillings-87